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L’association féminine Action pour la protection de la femme, enfant et environnement au Congo (APROFEEC), avec l’appui de ONU Femmes, a sensibilisé samedi 28 septembre, une trentaine d’opérateurs économiques des petites et moyennes entreprises (PME) de Beni (Nord-Kivu), à la cohabitation pacifique, dans le cadre du projet « Amani Kwetu ». Selon Julie Nkuna, l’une des responsables de cette structure, l’objectif de cette table ronde est de sensibiliser cette catégorie de la population au vivre ensemble tout en bannissant les messages de haine, pour contribuer à la pacification de la région afin que ces concepts soient une réalité vécue. «

Désigné par voie coutumière chef du village d’Atsansi-Djokopé (canton de Momé) dans la commune Vo 3, Togbui Olivier Kodjovi Nékou 2 a reçu, le samedi 28 septembre, son arrêté de reconnaissance le confirmant garant des us et coutumes. Une cérémonie d’intronisation traditionnelle a précédé la remise de l’arrêté. Elle a consisté au port de la couronne, de la chaussure traditionnelle, de la remise de la canne et l’installation sur le trône royal. Evala Annonce PUBLICITÉ Le document lui a été remis par le préfet de Vo, Leguèdè Kokou Jérôme en présence des personnalités politiques, administratives, religieuses, traditionnelles, militaires et des

Le gouverneur de la province du Mai Ndombe, Lebon Nkoso Kevani, a promis samedi 28 septembre, d’organiser dans les jours à venir, une tripartite afin de prévenir les accidents des embarcations dans cette partie du pays. Il a fait cette annonce quelques jours après la conférence-débat organisée dans la ville d’Inongo, chef-lieu de la province. Selon l’autorité provinciale, cette rencontre réunira des représentants du gouvernement provincial, ceux de la division provinciale des Transports et des armateurs. Les acteurs étatiques et non-étatiques qui ont participé à cette conférence-débat, ont promis de tout mettre en œuvre pour réduire le taux de naufrages

Des détenus de la prison centrale Mbandaka ont tenté de s’évader dans la nuit de samedi 28 à ce dimanche 29 septembre. Selon des sources anonymes, ces pensionnaires ont tenté de s’évader pour échapper aux mauvaises conditions carcérales. Ils ont déclenché un incendie dans le bureau administratif pour créer une diversion afin de faciliter leur fuite. Mais selon le directeur de la prison, Fernando Engomba, il ne s’agit pas d’une tentative d’évasion, plutôt d’une mésentente entre prisonniers qui a dégénéré. Il affirme que ces détenus se sont soulevés pour désapprouver la maltraitance dont ils sont victimes de la part de

Le Réseau pour les droits de l’homme, (REDHO), a affirmé, samedi 28 septembre, qu’au moins septante-et-un détenus sont décédés dans la prison de Kakwangura à Butembo, (Nord-Kivu) entre les mois de janvier et septembre 2024. Les responsables de ce réseau ont révélé ces chiffres après un monitoring effectué dans cette maison carcérale il y a quelques jours. Ils affirment que ces décès ont été causés par le surpeuplement et la malnutrition. La prison de Butembo héberge actuellement plus de mille trois cents détenus, alors qu’elle était construite pour une capacité d’accueil de deux cents pensionnaires. Le coordonnateur du REDHO, Muhindo

Une mère, sa fille de 15 ans ainsi que la nièce de son époux, ont été violées par des bandits armés dans la nuit de samedi à dimanche 29 septembre dans le quartier Libération, dans la commune de Selembao à Kinshasa. D’après les témoignages des habitants du quartier, ces bandits ont fait irruption tard la nuit dans la maison de cette famille, réclamant l’argent que le père de famille qui est en mission de service à l’intérieur du pays, aurait envoyé à son épouse. Ces malfrats ont tiré des coups de feu pour créer la psychose dans le quartier, puis

Une psychose règne depuis environ une semaine à Kasugho, une localité située à 45 kilomètres à l’Ouest de Lubero centre, (Nord-Kivu), à la suite des affrontements à répétition entre deux groupes armés locaux, ont indiqué dimanche 29 septembre, des sources de la société civile locale. D’après ces sources, la localité de Kasugho et d’autres environnantes, se sont vidées de leurs populations depuis lundi dernier, à cause des affrontements entre les groupes armés du « Front des patriotes pour la paix, armée du Peuple » (FPP/AP) et « les Mai-Mai Yira ». Le dernier incident en date remonte à samedi 28